Il était une fois, corps nu à tâtons dans le vide la liberté manquée suspendue à mon fil emmêlée dans l’entrechat des heures poisse l’existence vraie de vraie éclatée sur la face sens taraudés sans relâche je jouais l’esbrouffe et là où la vie ma vie filait en rus tendres s’acharnant à gonfler pis que pendre la déveine des flots triomphant en aval de ma joie se donnèrent en vertiges à mes hauteurs de voix