Dans l’oasis eau forte de mes jours où l’espoir à mi nuit menue me laisse depuis toujours depuis avant se prélasse dans ma tendre torpeur haut le cœur latent un poids de senteurs sans gêne Dans le monde et son lit méfait au creux de mon sein épanoui attaché plus qu'au mal entiché fidèle souvenir de peurs anciennes un slow enlaçant insidieux cloître mes étoiles lointaines Dans le love assoupi de mes bras blues brodé d’or où perce ma peine l'hésitation dans un soupir sans autre façon déglingue ma vie
A M. qui se reconnaîtra, pour l'inspiration libre que ses "mots d'elle" me donnent. S2