Délimite de l'âme
De sa caresse légère et doux vêtu
le vouloir-dire irrépressible du vent papillon
déflore la rondeur éphémère d'une rose
promise dès l'aube au jour nouveau
Il faut toute une vie par-delà tendue
débordant l’abime pour nourrir l'âme
Entre les paumes jointes de nos mains
aux farandoles repues d'étoiles
dort l'exilé et ses affres d'abandon