Aux amours indécentes
… à la douleur qui nous éloigne.
Sous le satin d'un soleil kaléidoscope
au travers duquel le monde semble merveilleux
les affres déchirées, le sort se rit de tout
Puis il y a ces matins, où le ciel jaune soufre l'enfer
et la terre bienveillante mollit sous mes pas
Déluge de mots collés sous ma langue
un souffle haletant strie l'horizon
jouissant à la verticale
Chevauchée de caresses entachées de péché
gueule ouverte la pulpe de mes doigts
dans une onde d'envie dure et douce à la fois
sous la plume ronde se pâme et peaufine
l'âme en feu son désir crescendo...