Orpheline exilée des guerres et des autres championne mise à mal hors compète perchée en haut de ma tour d'ouïe et d’y voir les méninges en feu déjanté d’un revers de pensées lourdes et brutes à plate couture appliquée de mon lyrisme niais de peau roulée je dévaste et pille la certitude château de sable échaudé ma peine sage sur la plage échouée côté mer entre le vague et les ressacs je fore éperdue le rivage... Terre ! Terre ! Qui suis-je ? nez bouffé au milieu du visage pieds et poings cloués sur ma peur enragée fringales d'ombre et de lumière mêlées