L’hydre démystifiée
Lorsque aux confins du désert envenimé une nuit de satin s’illumine Aladin dans sa lampe a le cœur en suspens
Dans le matin vague de mes rêves barbouillés tout en haut du revers des orages obsolètes participes et points déliés le vide en-dessous accoudée au bastringue violent d'un jour banal dans un faste grandiose d’émotive expansive l’exclamation timide couturée d’allégresse ma langue éprise d’aise sur une page chavirée sous l’audace exorbitée d’une encre malhabile bouche close torturant toujours la même histoire s’offre le valdingue d’une extase primitive où mes motifs en toc à foison vont frimer apaisant si mal ma soif inextinguible